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… Once upon a younger year
When all our shadows disappeared
The animals inside came out to play
Went face to face with all our fears
Learned our lessons through the tears
Made memories we knew would never fade

… One day, my father, he told me
« Son, don’t let it slip away »
He took me in his arms, I heard him say
« When you get older
Your wild heart will live for younger days
Think of me if ever you’re afraid »

… He said, « One day, you’ll leave this world behind
So live a life you will remember »
My father told me when I was just a child
« These are the nights that never die »
My father told me

… « When thunderclouds start pouring down
Light a fire they can’t put out
Carve your name into those shining stars »
He said, « Go venture far beyond the shores
Don’t forsake this life of yours
I’ll guide you home no matter where you are »

… One day, my father, he told me
« Son, don’t let it slip away »
When I was just a kid, I heard him say
« When you get older
Your wild heart will live for younger days
Think of me if ever you’re afraid »

… He said, « One day, you’ll leave this world behind
So live a life you will remember »
My father told me when I was just a child
« These are the nights that never die »
My father told me

… « These are the nights that never die »
My father told me

… My father told me

Le dictateur.

Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs.

Nous voudrions tous nous aider, les êtres humains sont ainsi. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas le malheur. Nous ne voulons ni haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche pour nourrir tout le monde. Nous pourrions tous avoir une belle vie libre mais nous avons perdu le chemin.

L’avidité a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour finir enfermés. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent néanmoins insatisfaits. Notre savoir nous a rendu cyniques, notre intelligence inhumains.

Nous pensons beaucoup trop et ne ressentons pas assez. Etant trop mécanisés, nous manquons d’humanité. Etant trop cultivés, nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités, la vie n’est plus que violence et tout est perdu. Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes.

En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes, de femmes, d’enfants désespérés, victimes d’un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.

Dimanche.

Je ne sais plus ce que c’est ; un dimanche.

Je me souviens que souvent il suivait une nuit agitée ; une nuit blanche.

On se réveillait comme on pouvait, les yeux collés, encore un peu éméché, et un sacré mal de tronche.

« Elle était plus jolie, cette nuit.. »

On partait à la recherche d’un point d’eau…et d’un bon gros McDo.

Et puis, l’après-midi, les plus braves allaient se balader, pendant que les autres restaient alités devant leur nouvelle série préférée.

Ensuite venait la soirée. On checkait le programme TV. 

C’était soit tout, soit rien.

Et on pensait au lendemain, en allant se coucher.

Je ne sais plus ce que c’est ; un dimanche.

J’ai oublié.